Existence
Rampe, rampe, vilain cafard !
Grouille sous le temple, marche sous la table
Construit tes montagnes de chair à l’ombre des sentiers exploités…
Mange, mange, petit cafard.
Au milieu des crânes des géants contrariés
Evite les lacs acides qui remplissent tes yeux de fumées vertes…
Crève, crève, maudit cafard !
Ta maison s’est écroulée là où tu l’as rongée
Tu disparais comme ceux qui comme toi ne savaient plus écouter…